peter cogen iconDeux mariages, deux grands enfants, vingt années à la tête d'une entreprise de services avant un changement de cap radical, il y a quinze ans. Ce parcours me permet-il de comprendre un peu mieux certains défis humains? Et de rencontrer des personnes qui m'avouent parfois que... Elles n'aiment pas (trop) les psys?

Une pratique respectueuse

Le respect de la personne qui me consulte est au coeur de ma vision de la thérapie brève. Il explique mon choix pour cette approche efficace, concrète et pudique.

C'est également ce respect qui m'invite à vous accueillir dans un cadre qui favorise un dialogue serein. À prendre, pour chaque entretien, tout le temps qu'il faut pour que la rencontre soit une étape utile dans la voie d'une solution. Et à informer clairement pour que cette solution s'accompagne de l'acquisition de nouvelles connaissances qui vous enrichissent durablement.

Le respect de la personne qui me consulte inspire mes choix d'une méthode efficace,
d'un cadre accueillant et d'une pratique qui vise l'acquisition de compétences durables

  • Thérapie à livre ouvert

    À livre ouvert

    Dans ma pratique, comme sur ce site, aucune magie, aucun mystère. Informée sur la vision et la méthode systémiques, la personne qui me consulte acquiert une maîtrise durable, qu'elle transposera dans d'autres situations de vie.

  • Thérapie sans chrono

    Sans chrono, sans attente

    Cinq rendez-vous par jour, planifiés entre 9h et 22h, me permettent de recevoir ponctuellement chaque personne qui me consulte. De consacrer à chaque entrevue le temps nécessaire pour que nous progressions vers une solution. Et de garantir un accueil en toute discrétion.

  • Cabinet de psychothérapie

    En toute sérénité

    Un cadre accueillant favorise un dialogue respectueux aux règles claires. Ceci est un lieu de rencontre et de travail. On s'y réunit pour explorer une problématique. On s'y associe pour la résoudre.

Combinant l'utile ...

Gestionnaire d'une entreprise de services, matériellement comblé, entouré d'amour... À quarante-cinq ans, j'avais tout pour être heureux, comme on dit. En tout cas, c'est ce qu'on me répétait sur tous les tons, alors que j'entrais dans la nuit noire d'une dépression. Quand la lumière est revenue, j'ai décidé de changer de cap. De métier. De vie. Depuis onze ans, j'ai matériellement moins pour être heureux. Mais je le suis plus.

Est-ce utile, pour un psychothérapeute, d'avoir connu une période de crise? Sans aucun doute. Il m'est utile de savoir que la souffrance existe. Je ne risque pas de la banaliser. Mais...

Le nécessaire ...

L'expérience de vie est utile mais ne suffit pas. Pour aider autrui, ce qui est nécessaire , ce sont les études de psychologie, les formations en psychothérapie et les démarches personnelles. Ce qui est nécessaire aussi, c'est un souci sincère du bien-être d'autrui que partagent tous ceux qui entreprennent ce parcours d'apprentissage, qu'ils aient vingt ans ou plus du double. Voici les étapes importantes du mien:

  • B.Sc. en Psychologie (Université de Mons)
  • Formation à la Thérapie Brève Systémique, Cycles I, II et III (Institut Gregory Bateson, Liège)
  • Formation aux principes de l'analyse transactionnelle et au coaching (Adalis, Wavre)
  • Formation et démarches en Ingénierie des Croyances de Base (Unescorps, Québec)
  • Module Psychologie Analytique C.G. Jung (ULB, Bruxelles)
  • Séminaires et conférences (Ressources, Lasne - EDP, Tournai)

À cela, le cours de ma vie ajoute quelques petits plus. Un sens du service dans une logique de partenariat avec la personne qui me consulte. La maîtrise de trois langues (français, anglais et néerlandais). Une familiarité avec la vie de l'entreprise (TIC, RH, gestion, finances) qui facilite souvent le dialogue dans des situations de burnout.

Et le thérapeutique?

Cette culture mixte, composée de connaissances en psychologie, de la maîtrise d'une méthode d'intervention et d'un parcours personnel...
Est-ce thérapeutique pour la personne qui me consulte, aujourd'hui?

Certains témoignages me l'affirment et soulignent à quel point le dialogue fut naturel. En lisant le commentaire de cet informaticien (voir encadré 1) on peut même se demander s'il m'a réellement consulté comme psychothérapeute?

Au cours de mes formations et de mes démarches personnelles, ce sont les intervenants les plus ouverts au monde qui m'ont enrichi le plus.

Pour eux, l'humain dépassait la dimension de leur modèle. Et la vie était plus riche que leur méthode. On n'apprend pas cela dans les manuels de psychologie.

La science peut enfermer dans le sectaire ou mener à l'absurde, quand aucune conscience ne lui impose des limites.

Dans ce sens, oui, je crois qu'il est souvent thérapeutique d'avoir plusieurs regards et plusieurs approches d'une même réalité. Pour la changer plus vite, parfois. Mais avec respect et prudence, toujours.

Un informaticien chez le psy?

programL'un et l'autre semblent appartenir à des univers très différents et pourtant... Ce dirigeant d'une SSII paraît vraiment heureux d'avoir fait une démarche qui, au tout début, l'intimidait un peu:

Coincé dans un mécanisme de type "rond point", impossible d'en sortir seul, chaque situation relationnelle "de proximité" était inextricable, bouclant sur elle même... Systématiquement... Après m'être rendu compte de ce mécanisme, et qu'il m'appartenait de le régler moi-même, j'ai fait appel à Peter.

Peter a parlé ma langue (...) a fait de mon fonctionnement son analyse et a fait de mon cahier des charges un projet concret, réalisable, étape par étape.

(Publié sur Skilto)

Petit clin d'oeil aux geeks: Oui, par sa recherche pragmatique de changements graduels qui améliorent concrètement le quotidien, la thérapie brève rappelle parfois les nouvelles méthodes de développement agiles!